Il va la falloir, la saignée, la saigner et, redoubler du sang, vider entier le corps de ses steppes, concasser l’immense dans le broyat, densifier par la surface et son fond sans fin de derme. Émettre une fin, la supposer, l’exister, la fin. La fin de l’homme l’existentialiser du bout des ongles, la sentir, sa joue sur la nôtre entière, regarder son œil noir, il faut le regarder, le saisir, dans le corps, l’expériencier par la respiration, son front glacé, sentir les gouttes perler, la condensation se faire au contact du froid, son œil noir, percer, la substance de mystère, la révéler entière. Et s’étendra la fin, comme un linge noir, sur le corps greffé d’autre. Nous lui verrons sa fin. Je la saurai entière. Minimale. La fin étendue comme ce linge noir sera l’étendue-borne de mon corps.
Stéril
ement
Triomphe, tu triomphes
D’Humanité
L’extinction
A quelque-chose à voir avec
Le noir gris d’extinction
Ta figure anémiée
Clignot
ement ta figure clignote
Tu as à voir
D’humanité stérile